Quatre chiens sont morts après que des boulettes de viande empoisonnées aient été propagées sur des sites de course à travers le pays, selon les autorités françaises.
La police du sud de la France enquête sur plusieurs cas d’empoisonnement de plusieurs animaux de compagnie dans la commune de Vauvier – près de Montpellier, survenus dimanche dernier.
On pense que l’agresseur a frappé lors d’une épreuve de cross-country de canicross pour chiens et leurs propriétaires. L’événement voit des chiens courir attachés à leurs propriétaires, qui peuvent faire du vélo ou courir aux côtés de leurs animaux de compagnie.
Selon Le New York Times.
L’événement a été annulé et le site fermé immédiatement après l’incident. Une recherche sur le site de la course a trouvé plus de 50 boulettes de viande recouvertes de suffisamment de poison pour tuer un chien instantanément.
« Ils s’étouffaient avec toute la mousse et tout », a déclaré le vétérinaire Berenguer Poletti, qui a organisé l’événement. fois.
« Je ne sais pas qui a fait ça, pour quelles raisons, mais c’est juste horrible. »
Mardi, certains propriétaires de chiens ont continué sur la route, malgré les avertissements des autorités pour éviter la zone, selon France 3. Deux autres chiens ont été empoisonnés et un autre est mort, le nombre total de chiens tués par les boulettes de viande enrobées de toxine augmentant. à quatre.
Les autorités ont envoyé l’ADN des chiens décédés à un laboratoire à Lyon pour déterminer le poison utilisé dans l’incident, ainsi que pour examiner les images des caméras de surveillance de la région.
La course de canecross de dimanche dernier était une manche de qualification pour le championnat du monde allemand, qui était prévu en octobre.
Ce sport, qui implique des cavaliers conduisant leurs chiens dressés sur de longs parcours, est devenu de plus en plus populaire en France ces dernières années, tant en compétition qu’en club.
La police pense que l’agresseur a utilisé des gants pour mélanger le poison dans le but de réduire les preuves médico-légales. S’il est reconnu coupable, le contrevenant sera accusé d’atrocités et pourrait encourir une amende de 75 000 € (66 000 £) et cinq ans de prison, selon France 3.