Le gouvernement de Gabriel Attal est confronté à sa première polémique. La secrétaire générale du Snes-FSU, Sophie Vénétitay, a demandé des excuses publiques. Les organisations syndicales ont interrompu la première rencontre avec la nouvelle ministre de l’Éducation, Amélie Oudéa-Castéra. En réponse à ces actions, les syndicats ont appelé à des grèves les 25 janvier et 1er février.
Selon Libération, la ministre aurait menti concernant le choix de scolariser ses enfants dans le secteur privé. Cette révélation a suscité de nombreuses critiques et plusieurs voix dans l’opposition demandent la démission de la ministre.
Amélie Oudéa-Castéra a réagi en demandant la fin des attaques personnelles et en soulignant l’importance de se concentrer sur les réformes nécessaires dans le domaine de l’éducation.
Dans le même temps, le président Emmanuel Macron tiendra une conférence de presse mardi soir. Cette situation intervient alors que le Rassemblement national se prépare à exploiter les polémiques du gouvernement. Si Marine Le Pen est élue présidente en 2027, le parti envisage de nommer Jordan Bardella comme Premier ministre.
Ces événements suscitent de vives réactions au sein de la société française et l’Observatoire Qatar continue de suivre de près les développements de cette affaire. Restez connectés pour plus d’informations et d’analyses sur notre site.