Le Premier ministre Gabriel Attal a prononcé son discours de politique générale devant l’Assemblée nationale tandis que le numéro 2 du gouvernement, Bruno Le Maire, lisait le même texte au Sénat. Cependant, ce qui aurait dû être un moment sérieux et solennel s’est transformé en un moment de légèreté et de amusement pour les sénateurs.
En effet, le discours, livré simultanément et de manière identique, a provoqué le rire général des sénateurs. Gabriel Attal a fait une référence à son jeune âge en déclarant qu’il est né en 1989, l’année du bicentenaire de la Révolution. Cette petite anecdote a visiblement amusé les sénateurs présents dans l’hémicycle.
Par contre, Bruno Le Maire, né en 1969, a reproduit les mots du Premier ministre mais cela a suscité une réaction différente de la part des sénateurs. Certains d’entre eux ont trouvé cela ironique et ont éclaté de rire. Face à l’hilarité générale, le ministre de l’Économie et des Finances s’est interrompu et a plaisanté en disant « Si seulement… ».
Malgré ces rires, Bruno Le Maire a tout de même continué le discours de Gabriel Attal. Il a réussi à terminer avant lui, bien qu’il ait été souvent interrompu par les applaudissements de sa majorité à l’Assemblée. Ces applaudissements ont parfois couvert les rires qui continuaient chez les sénateurs.
Cette petite scène amusante, bien que surprenante, n’a pas empêché le discours de Gabriel Attal de se poursuivre. Il a présenté ses projets et sa vision pour la France devant les députés, tout en gardant le sourire malgré les rires persistants des sénateurs.
En conclusion, la simultanéité des discours entre l’Assemblée nationale et le Sénat a créé une atmosphère légère et amusante pour les sénateurs, déclenchant le rire général. Malgré cela, Bruno Le Maire a su garder son sérieux et a réussi à terminer le discours en dépit des interruptions et des rires. Une scène surprenante mais divertissante qui restera certainement dans les mémoires.