Marine Le Pen, la présidente du Rassemblement National (RN), a récemment réagi à la relaxe de François Bayrou dans l’affaire des assistants parlementaires des eurodéputés Modem. Malgré leurs différences politiques, elle s’est dite « très contente » que justice ait été rendue à l’ancien ministre de la Justice.
Selon Marine Le Pen, cette affaire met en évidence deux visions qui s’opposent : une vision française et une vision européenne de ce que doit être un assistant parlementaire. La présidente du RN soutient une vision française de cette fonction, qui se différencie de celle adoptée au niveau européen.
En tant que patronne du groupe RN à l’Assemblée nationale, Marine Le Pen est également impliquée dans l’affaire des assistants parlementaires. Cependant, elle insiste sur le fait que chaque pays a ses propres règles et traditions en ce qui concerne les assistants parlementaires, et que ces différences doivent être respectées.
Marine Le Pen affirme qu’il est essentiel de préserver l’indépendance de la France et de ne pas se laisser dicter les règles par l’Union européenne. Elle estime que la vision française de la fonction d’assistant parlementaire garantit une meilleure représentation des citoyens et une plus grande proximité avec les élus.
Malgré les divergences politiques entre Marine Le Pen et François Bayrou, la présidente du RN a tenu à souligner l’importance de respecter la décision de justice et à saluer la relaxe de l’ancien ministre. Selon elle, il est essentiel de reconnaître que chacun a droit à un procès équitable et que la présomption d’innocence doit toujours prévaloir.
En concluant, Marine Le Pen rappelle que cette affaire met en lumière les différences de vision entre la France et l’Union européenne, et souligne la nécessité de défendre les intérêts nationaux face aux pressions et aux décisions prises au niveau européen.