Le vice-président et secrétaire général de l’Alliance mondiale des institutions nationales des droits de l’homme, le Dr Ali bin Smaikh Al-Married, a appelé le gouvernement de transition du Soudan à apporter le soutien nécessaire aux ONG.
Il a également félicité le premier vice-président du Conseil de souveraineté de transition et commandant des Forces de soutien rapide, le lieutenant-général Mohamed Hamdan Dagalo, pour avoir élu le Soudan en tant que membre du Conseil des droits de l’homme pour l’année 2021 en tant que représentant du groupe africain.
Cela s’est produit lors de la réunion qui s’est tenue aujourd’hui, lundi, entre le lieutenant général Muhammad Hamdan Dagalo et le Dr Al-Married au siège du gouvernement de transition soudanais.
Le Dr Al-Married a salué l’adhésion du Soudan à la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants et à la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, saluant à nouveau la décision de former un comité directeur national. HCDH, et l’engagement de l’Alliance mondiale des institutions nationales à soutenir le Soudan dans tous les aspects liés aux droits de l’homme.
Il a appelé à l’institutionnalisation du dialogue entre le gouvernement soudanais et l’Alliance nationale des institutions nationales des droits de l’homme, soulignant que la période de transition exige les efforts concertés de tous les efforts gouvernementaux avec les efforts des organisations non gouvernementales pour améliorer la situation des droits de l’homme.
Il s’est félicité de l’engagement de l’Alliance mondiale des institutions nationales des droits de l’homme à fournir le soutien technique nécessaire à la rédaction de la loi portant création de la Commission nationale des droits de l’homme.
Il a également appelé à l’élaboration d’une stratégie nationale pour les droits de l’homme en tant que pierre angulaire de la transition vers la démocratie, la justice et l’état de droit au Soudan.
Il s’est également félicité de la levée des sanctions économiques contre le Soudan, ajoutant que ces sanctions avaient de graves répercussions sur la capacité d’exercer les droits de l’homme fondamentaux, et a appelé la communauté internationale à accélérer les procédures de levée de l’embargo économique.