Le pays européen a signalé ses premiers cas en mai, et son dernier total était de 33 cas confirmés mercredi.
Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont déclaré vendredi avoir connaissance de plus de 700 cas de virus monkeypox dans le monde, dont 21 aux États-Unis.
L’agence française de santé publique a déclaré que tous les cas étaient des hommes âgés de 22 à 63 ans et qu’une seule personne avait été hospitalisée et sortie.
La maladie rare, qui n’est généralement pas mortelle, se manifeste souvent par de la fièvre, des douleurs musculaires, des ganglions lymphatiques enflés, des frissons, de la fatigue et une éruption cutanée semblable à la varicelle sur les mains et le visage.
La maladie est endémique dans certaines parties de l’Afrique centrale et occidentale mais est rare en Europe et en Afrique du Nord.
Monkeypox disparaît généralement après deux à quatre semaines, selon l’Organisation mondiale de la santé.
La ministre française de la Santé, Brigitte Bourguignon, a déclaré la semaine dernière que les autorités ne prévoyaient pas d' »épidémie » et que le pays disposait d’un stock adéquat de vaccins.
La France a recommandé que les adultes, y compris les professionnels de santé, soient vaccinés s’ils entrent en contact avec des personnes infectées.