Match: 22-19
Et à la fin de la période de prolongation pour le point d’or – qui a été remporté par le premier but – qui a généreusement vu l’arbitre irlandais offrir deux chances de but aux Anglais à zéro à Tricolores, où le XV de la Rose a fini par gagner avec des pinces et 5 minutes après la fin avec le but malheureux d’Owen Farrell, jusque-là À côté de ses pompes. La jeunesse française, présentée comme victime d’expiation, est sortie de Twickenham la tête haute après un match palpitant, l’un des meilleurs matches français depuis au moins dix saisons.
Pour les journalistes et techniciens anglais qui s’attendaient à une farce, voire une pension, en quelque sorte une insulte à Sa Majesté, la finale de la Coupe des Nations d’automne a montré la richesse du califat français. . Dans quelle mesure elle a également montré une force mentale digne de ses ancêtres après avoir bloqué devant sa ligne de test des buffles roses tirés dans la confrontation qu’ils ont perdue avec de lourds coups aux épaules.
La première période de Tonic est comme celle du 15e remplaçant de la France – on dit maintenant à la fin – qui a entamé ce duel sans noeud au sommet de Twickenham devant 2000 spectateurs distingués. L’éclat de ce temple n’est donné à personne et cette équipe française est de bon augure pour l’avenir.
En tout cas, effrontée, dense et provocante, aussi talentueuse comme en témoigne la percée de l’éditorial de Matthew Galibert pour donner à Brice Doolin son test (15, 3-7), elle a courageusement mené pendant 65 minutes dans le sillage de son nouveau capitaine Baptiste Cowellud.
La deuxième mi-temps a été plus difficile à gérer, car les Anglais l’ont presque dominé du début à la fin dans la formation du genre, qui s’est rendu à la dernière finale de la Coupe du monde. Les Anglais qui ont abusé du jeu au pied offensif, seulement pour faire briller Bryce Doolin, et qui ne pouvaient pas compter sur la précision habituelle de leur but officiel, Owen Farrell, pour s’améliorer sur de nombreux temps forts (42, 45, 51, 54, 71). Mais avec une épreuve à la fin (80, 19-19) Farrell a tourné et un but cinq minutes après la fin de l’extension obtenue, l’Angleterre a gagné sans génie et sans gloire.
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Nombre d’échecs de l’Anglais Owen Farrell face aux emplois. Avec un modeste succès de 55%, le centre et leader du XV de la Rose a échoué dans son rôle de cible.
Joueur: Bryce Doolin, un nain irremplaçable
Très sûr sous des balles hautes (et il y en avait juste trop), toujours très vif pour rebondir à la moindre occasion, inspirant l’attaque comme en témoigne sa tentative (15), précieuse en défense – comme en 51 où il a sauvé une tentative en glissant vers l’aile – il a souligné L’irremplaçable La Rochelle Brice Dulin à Twickenham qu’il a actuellement 30 ans est le meilleur défenseur français et a également confirmé son excellente performance contre l’Italie la semaine dernière.
L’action: 79 minutes héroïques devant leur série bleue
Avant la pause et pendant deux minutes (deux longues minutes en défense), les Bleus se sont fait connaître solidaires, avec un fort esprit d’équipe, gardant leur but sous les coups des roses, treize au total, comme beaucoup de beats aveugles. Les Anglais gâtés ont tenté – en vain – de casser l’héroïque défense française et ont maintenu leur avantage (6-13) en rentrant aux vestiaires. Elle n’a accepté aucune tentative pendant soixante-dix-neuf minutes malgré la domination anglaise, et ne s’est inclinée qu’à la dernière seconde pour ouvrir la voie à Rose pour une prolongation.