Yannick Pestafen, coincé dans une zone peu venteuse au large du Brésil, a encore une bonne marge d’avance à la barre. Globe Fendi Un samedi midi, mais deux pêcheurs Charlie Dalen (Abivia) et Thomas Rettant (Linkedout), qui naviguaient derrière le plus rapide, ont frappé le patron.
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J’ai perdu 100 miles sur un peu plus de 400
Bestaven, de retour aux latitudes tempérées, navigue en bordure d’une zone de haute pression au large du Brésil. Et les vents qui la portent sont très faibles. Derrière eux, Dalin, Rouillard, Damien Seguin (Groupe Apicil) et Louis Burton (Bureau Vallée 2) sont dans une belle voie venteuse entre bas et haut. Ils avancent de plus de 15 nœuds avec de forts vents du sud.
Ces conditions sont plus favorables que celles Bestafen Leur permettant de combler rapidement une partie de leurs lacunes dans le premier. Samedi à midi,
Sortez Ainsi Roillard a regagné près de 100 miles (185 km) à Pestafen en 24 heures. Celui qui avait à peine abandonné la tête depuis le 16 décembre – sauf le jour de Noël – n’avait que 300 milles et moins de 330 milles d’avance sur ses poursuivants respectivement.
Marroné à Sainte-Hélène, comme Napoléon
Rochelais tentera désormais d’attraper des vents plus forts près de la côte brésilienne. En fin de compte, tout le monde affrontera la crête de Sainte-Hélène au début de la semaine prochaine. Le premier, qui entrera ensuite en contact avec l’apparition des alizés en milieu de semaine, devrait creuser à nouveau l’écart avec ses harceleurs et revenir rapidement dans l’hémisphère nord.