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Aide-mémoire PSG – OL (0-1): En égalisant la concurrence, Paris finirait par payer

Le jeu: l’OL a tout maîtrisé

Des deux équipes sur le terrain, la seule qui ressemblait vraiment à une équipe était lyonnaise. Avec un plan de match cohérent et une discipline tactique à tout moment pour le mettre en œuvre. Les Gones n’ont pas hésité à jouer haut pour faire dérailler la reprise de Paris et mieux l’étouffer au milieu de terrain. Si leur cible venait d’une faute parisienne, ils avaient l’avantage de le provoquer. L’OL a chuté un peu en seconde période et ils auraient pu s’exposer. Mais le Paris Saint-Germain était trop faible pour en profiter. Mal organisé et incapable d’accélérer, il ne s’est pas donné les moyens de rivaliser avec Lyon et d’éviter la défaite.

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L’OL fait le grand

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Joueurs: Cadwire, décisif à tous les niveaux

Marquez le but gagnant. Il a également été l’auteur d’un retour décisif face à Neymar, dans l’une des meilleures situations parisiennes. Tino Kadioire marque des buts, et sait aussi être décisif en passant le poste. Mais c’est l’environnement OL qui fait la différence, à la fois physiquement et artistiquement, sous la houlette de Hossam Awar et Lucas Paqueta. Également de Thiago Mendes, dont le licenciement ternit le service de XXL ailleurs. Aux côtés du Paris Saint-Germain, Présnel Kimpembe a accablé son peuple d’une grosse erreur de reprise. Neymar a été impliqué dans son entreprise en solo jusqu’à sa sortie en raison d’une blessure.

« En quatre jours, nous avons vu le meilleur et le pire de Neymar. »

Le facteur X: le côté obscur 3-5-2

De toute évidence, il satisfaisait Basaksehir. Mais ces 3-5-2 ont aussi leurs inconvénients. Ils ont éclaté en plein jour face à l’OL, alors que les défenseurs parisiens se retrouvaient encore et encore face aux attaquants lyonnais. Gones a parfaitement utilisé l’espacement entre les centres et les côtés pour créer des situations dangereuses. La pression des attaquants, bien coordonnée mais sans intensité maximale, a suffi à perturber les solutions de récupération parisiennes et à empêcher les milieux de terrain d’influencer le jeu. Ce style n’a pas été efficace contre l’OL. Il a même précipité la perte du Paris Saint-Germain. Mais Thomas Tuchel n’a jamais changé.

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Pays: 4

C’était la soirée des premières au Parc des Princes. Le Paris Saint-Germain avait déjà subi sa quatrième défaite en seulement 14 jours, après des revers face à Lens (1-0), Marseille (0-1) et Monaco (3-2). C’est la première fois depuis la saison 2009-10, que Paris termine 13e du classement. Une autre époque. Ce nombre est vraiment stupéfiant. Mais il faut aussi se rappeler que Paris n’a marqué qu’un seul coup dans ce match contre Les Gones. Encore une fois, cela ne lui est jamais arrivé à l’ère QSI.

Déclaration: Thomas Tuchel (entraîneur du Paris Saint-Germain)

C’est notre faute si nous ne sommes pas les premiers. Nous avons suffisamment de qualités pour gagner chaque match.

La question: Paris perd-il le titre?

Oui, cette question est vraiment devenue d’actualité. Ce Paris Saint-Germain n’a pas été totalement dominant depuis le début de la saison, il a toutes les peines du monde pour imposer son jeu et ne dégage plus la même suprématie que les années passées. Le match contre Lyon n’était qu’une confirmation. Car l’OL l’emportait régulièrement au Parc des Princes, donnant un match sérieux et complet, tout en donnant l’impression qu’il pouvait faire un meilleur travail. Cela suggère que la marge de Paris est beaucoup plus petite que lors des saisons précédentes.

Ce n’est pas la première fois que cette note apparaît. Si la thèse de l’accident est acceptable pour une défaite à Lens (1-0) lors de sa première sortie de la saison, ce n’est pas le cas des revers contre des bastions de L1 comme Marseille et Lyon. Ou même Monaco. Si les difficultés dans le jeu des Parisiens s’expliquent en grande partie par les absences et les conséquences de cette saison très spéciale sur le plan physique, alors leurs défauts mentaux à chacune de ses rencontres fournissent une raison supplémentaire de redonner espoir à la compétition.

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Le Paris Saint-Germain a perdu son trône pour diverses raisons. Maintenant, il a le dos au mur, ce à quoi il n’est pas habitué dans la ligue. Sa chance n’a pas à gérer la première division et la Ligue des champions avant février. Il a enfin eu l’opportunité de se recentrer sur le tournoi et de mobiliser pleinement la concurrence qu’il a eu tendance à ignorer jusqu’à présent. Il n’a plus permis ce luxe. Parce que ses concurrents en ont profité. Et le Possible longue absence de Neymar Cela ne fera que leur donner plus d’espoir de déloger Paris.

« Lyon s’est avéré être un prétendant au titre. »

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