Il est temps de mettre ce compte Instagram sur la confidentialité.
décret Il a été publié le 13 février Il permet aux autorités fiscales françaises de repérer diverses plateformes en ligne pour trouver des preuves de fraude fiscale. Pendant une période d’essai de trois ans, la Direction générale des finances publiques (DGFiP) et les autorités douanières françaises pourront utiliser les données personnelles des réseaux sociaux, mais aussi des plateformes comme Airbnb ou le site des petites annonces Le Bon Coin, pour alimenter leurs enquêtes , en particulier sur les personnes qui mentent, concernant leur domicile fiscal.
Mais les fraudeurs fiscaux français n’ont pas à s’inquiéter des enquêteurs qui leur envoient des demandes d’amitié classifiées. Seules les autorités peuvent collecter des données accessibles au public, qui passeront par un algorithme d’exploration de données.
Le directeur de la DGFiP, Jerome Fornell, a déclaré que «près d’un quart des contrôles fiscaux» sont déjà pris en charge par l’extraction de données d’IA Dans un éditorial Au Monde lorsque la procédure a été discutée au Parlement en 2019.
L’agence française de protection des données, la CNIL, a déclaré en 2019 Avis non contraignant En ce qui concerne la mesure, il lui faut parvenir à un « équilibre strict entre l’objectif de lutte contre la fraude fiscale » et la nécessité de respecter les libertés publiques. Dans sa déclaration à l’époque, l’autorité a déclaré: « Le Congrès national du peuple restera vigilant … sur la manière d’appliquer efficacement la mesure ».