Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a récemment déclaré que la situation sur le front en Ukraine s’était améliorée au cours des trois derniers mois, avec la construction de plus de 1000 kilomètres de lignes défensives. Cette annonce intervient alors que des discussions sur un éventuel envoi de troupes occidentales en Ukraine sont en cours, suscitant des réactions mitigées.
En parallèle, le président hongrois Viktor Orban a affirmé que Donald Trump ne fournira pas de fonds à l’Ukraine s’il est réélu, soulignant une vision claire de ne pas financer le conflit. De plus, Volodymyr Zelensky s’est opposé à la participation d’athlètes russes aux Jeux Olympiques en France, demandant le soutien pour une justice envers l’Ukraine.
Les tensions restent vives, comme en témoigne la convocation de l’envoyé du Vatican par l’Ukraine suite aux propos du pape invitant Kiev à « hisser le drapeau blanc » et à négocier avec l’agresseur. En Allemagne, ces propos ont également provoqué des réactions critiques.
Parallèlement, la Russie organise une élection présidentielle en mars, où Vladimir Poutine est attendu pour un nouveau mandat de six ans. Cela soulève des inquiétudes, notamment aux États-Unis, où des craintes concernant une possible attaque nucléaire russe ont été soulevées en 2022.
En d’autres nouvelles, un documentaire ukrainien sur le siège de Marioupol a remporté un Oscar, mettant en lumière les atrocités de la guerre en Ukraine. Pendant ce temps, la Suède a rejoint l’OTAN, marquant un moment « historique » selon le secrétaire général de l’Alliance, alors que les importations d’armes en Europe augmentent en raison du conflit en Ukraine et que la production d’armes russes diminue.
Enfin, Emmanuel Macron prévoit de se rendre en Ukraine dans les prochaines semaines, soulignant la volonté française de soutenir le pays face à l’agression russe. Ces événements marquent une période critique dans la région, avec des enjeux géopolitiques importants en jeu.