Jean-Jacques Goldman, icône de la musique française, reste populaire même après vingt ans de carrière. Sa timidité et son talent musical l’ont mené à former le groupe professionnel, les Phalanstères, dans les années 1960. Il a commencé à jouer du violon, du piano et de la guitare au lycée avant de se lancer dans sa carrière musicale. Connu pour sa prudence et son pragmatisme, il a continué ses études en parallèle de sa carrière musicale.
Désirant chanter en français, Jean-Jacques Goldman a trouvé son premier succès avec le groupe Taï Phong en 1975. En 1981, il a signé un contrat avec le label Epic et a enchaîné les succès avec des tubes comme « Quand la musique est bonne » et « Au bout de mes rêves ». Malgré sa grande popularité, il a été critiqué par certains médias et a été rongé par la notoriété.
En 1991, il a formé le trio Fredericks Goldman Jones avec Michael Jones et Carole Fredericks, laissant de côté sa carrière solo. Il a écrit pour de nombreux artistes et est devenu une figure incontournable des Restos du cœur. Après son dernier concert en 2004, il s’est retiré progressivement de la scène musicale et des Restos du cœur.
Aujourd’hui, Jean-Jacques Goldman vit entre Marseille et Londres avec sa famille, cherchant l’anonymat qu’il n’a pas toujours eu. Son héritage musical et son engagement caritatif en font une figure emblématique de la scène musicale française.