Air France envisage de supprimer ses lignes entre Paris-Orly et Toulouse, Marseille et Nice en 2026, c’est ce qu’a révélé le président des Républicains, Eric Ciotti, après avoir reçu cette information de la PDG d’Air France, Anne-Marie Couderc. Cette décision inquiète les passagers qui regrettent la disparition de ces liaisons importantes.
Selon les informations fournies par Eric Ciotti, la filiale à bas prix d’Air France, Transavia, pourrait prendre le relais sur ces trajets avec une diminution significative de 15% des vols. Cela signifie donc moins de fréquences de vol pour les voyageurs qui utilisent ces lignes.
Cette nouvelle a également suscité des interrogations quant à l’avenir des liaisons aériennes entre Toulouse et Paris, car la compagnie aérienne britannique EasyJet assure déjà des vols sur cette route. Les voyageurs se demandent si EasyJet pourra répondre à la demande croissante de passagers dans la région.
Il convient de noter qu’Air France n’a pas encore confirmé officiellement la suppression de ces lignes. La compagnie aérienne prévoit de communiquer sur le sujet lors d’une réunion avec les représentants du personnel. Les syndicats sont donc en attente de cette réunion pour en savoir plus sur les raisons de cette décision et ses conséquences sur les salariés.
Cette potentielle suppression de lignes entre Paris-Orly et Toulouse, Marseille et Nice aura certainement un impact sur les passagers qui utilisent régulièrement ces trajets. Il se pourrait qu’ils soient contraints de trouver d’autres moyens de transport ou de faire des correspondances plus complexes pour rejoindre leur destination.
En conclusion, Air France envisage sérieusement de supprimer ses lignes entre Paris-Orly et Toulouse, Marseille et Nice en 2026. Cette information a été divulguée par Eric Ciotti, président des Républicains, mais la compagnie aérienne n’a pas encore officiellement confirmé cette décision. Les passagers et les syndicats attendent avec impatience la réunion prévue avec les représentants du personnel pour en savoir plus sur les raisons de cette décision et sur les alternatives proposées.