Ce week-end a non seulement marqué la première fois d’Albazi sous les projecteurs depuis son arrivée à l’UFC, mais c’est aussi la première fois que le joueur de 29 ans se tient à travers l’octogone face à un adversaire classé.
Bien qu’il ait déjà été réservé pour affronter les supporters de la division Tim Elliott, Alex Perez et Brandon Roivale à divers moments dans le passé, aucun de ces matchs ne s’est concrétisé, chacun devant se retirer des combats prévus pour diverses raisons, laissant Albazzi affronter une foule d’adversaires alternatifs et d’ennemis moins établis.
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À son crédit, l’espoir basé à Las Vegas a continuellement insisté pour avoir l’opportunité de partager l’octogone avec les meilleurs que le département a à offrir, et Cara France est impatiente de tester s’il le pense vraiment ce week-end.
« C’est là que j’ai frappé mon premier coup dur », a-t-il répondu lorsqu’on lui a demandé comment il discernerait si Albazy voulait vraiment être avec lui samedi. « S’il réplique, il veut se battre, et s’il ne le fait pas, il le montrera.
« J’ai mis ma main droite sur beaucoup de gens auparavant – Cody Garbrandt en était un excellent exemple. Il m’a supervisé, et je l’ai frappé avec la première main droite qui a atterri, et tout était en descente à partir de là. »
Tout le monde dans la position de Kara-France ne sera pas désireux d’affronter un combattant prometteur mais non testé comme Albazi, et de se concentrer au lieu d’essayer de trouver quelqu’un de plus proche d’eux dans le rang ou de brandir un nom plus grand pour les affronter, surtout hors d’un combat de championnat.
Mais le Néo-Zélandais sait que c’est le genre de combats qui accompagnent le fait d’être positionné près du sommet de la division, et savoure l’opportunité de voler l’élan de son adversaire alors qu’il se dirige vers un autre tour dans l’or de l’UFC.