La célèbre star de cinéma française Danny Pon a réussi à obtenir des décisions officielles de la Cour suprême contre plusieurs entités qui, selon lui, lui ont volé des millions d’euros.
Le juge Brian O’Mour s’est dit vendredi satisfait du jugement de M. Boone dans la procédure où M. Boone demande des dommages-intérêts contre Thierry Vialek Peerles alias Terry Peerles, alias Thierry Waterford Mandeville, et des sociétés associées pour avoir fraudé le puits. Une célèbre personnalité française valant plus de 6 millions d’euros.
Les demandes de décision n’ont pas fait l’objet d’un appel. Il a déjà obtenu des ordonnances de gel temporaire et de divulgation dans le but de vérifier où est allé son argent.
Rossa Fanning SC, au nom de M. Boon, a déclaré que M. Birles et plusieurs personnes morales associées étaient à un moment donné dans la procédure en cours représentée par les avocats.
Finalement, la plupart des parties, dont M. Perls, ont dit au tribunal qu’elles ne souhaitaient pas contester les allégations de M. Bone contre elles ou qu’elles n’avaient jamais participé aux procédures devant le tribunal.
Dans les circonstances, M. Bone sollicitait un jugement contre ces entités.
L’avocat a demandé au tribunal de planifier une audience plus tard ce mois-ci, lorsqu’il pourra déterminer le niveau des dommages-intérêts que M. Bone devrait recevoir et nommer un séquestre sur les actifs associés à ces accusés.
L’avocat a déclaré que deux autres accusés prétendument liés à M. Pearls, Asia Monaco Investments Ltd avec adresse Lusk Co Dublin, et Asia Monaco Sarl, enregistrée dans la Principauté de Monaco, contestent les réclamations de M. Boon contre eux.
Le juge O’Moore était convaincu que toutes les parties contre lesquelles un jugement avait été rendu étaient au courant ou avaient été informées de la procédure.
Le jugement est en faveur de M. Boon contre South Sea Merchant’s Mariners Ltd Partnership (SSMM), Hibernian Petroleum Limited Partnership, United Irish Estates Limited et Hibernian Yachts Company Limited, toutes les entités enregistrées en Irlande, et United Far East Company enregistrée à Samoa Oriental Holdings (Samoa) Ltd.
Le jugement a également été rendu contre American Sail & Motor Navigation Inc, enregistrée aux États-Unis, Amalgamated Plantations Company Ltd, enregistrée dans les îles Vierges britanniques, et Sail & Motor Navigation Company Limited à Antigua-et-Barbuda, qui n’ont jamais participé aux audiences. .
Au cours de la nouvelle année, a déclaré le juge, le tribunal entendra une demande des avocats d’Asia Monaco Investments Ltd et d’Asia Monaco Sarl visant à déposer diverses ordonnances contre ces entités.
Le tribunal, représenté par David Kennedy SC, a appris que les deux sociétés contesteraient l’intégralité de la procédure et a maintenant l’intention de contester la demande de M. Boone de maintenir en place les ordonnances de gel temporaire de leurs actifs.
Kennedy a déclaré que les deux avaient récemment changé d’équipe juridique, mais après avoir consulté leurs clients en France, les instructions sont parvenues.
M. Kennedy n’a pas fait valoir dans l’argumentation de M. Fanning que la position des entreprises sur la poursuite de l’injonction était un « revirement » et que l’ancienne équipe juridique avait précédemment déclaré au tribunal que les entreprises ne contesteraient pas la poursuite des ordonnances de gel. jusqu’à ce qu’une audition complète du différend ait eu lieu.
M. Fanning a déclaré que son client chercherait une « explication » pour ce changement de cap.
M. Boon a obtenu des ordonnances de gel et de divulgation contre Asia Monaco Investments et Asia Monaco Sarl.
M. Fanning a ajouté que les avocats de son client examinent actuellement des documents, y compris des informations financières fournies par les clients de M. Kennedy.
M. le juge O’Moore a reporté l’action contre les clients de M. Kennedy, avec les ordonnances provisoires rendues plus tôt.
En juillet dernier, M. Bonn, basé en Belgique, a obtenu une ordonnance de gel de la Haute Cour interdisant à plusieurs avantages sociaux qu’il contrôlerait ou au bénéficiaire effectif ultime de réduire leurs actifs à moins de 6 millions d’euros, ainsi que diverses ordonnances de divulgation.
Il se dit victime d’une « escroquerie systématique et élaborée de dimension internationale » perpétrée par M. Perls.
M. Bone dit avoir donné de l’argent l’année dernière à des entités liées à M. Peierls, qui se serait présenté comme un « gentleman irlandais » et un avocat expert en droit maritime.
M. Bone affirme que, sur les conseils de Perls, il a investi 4,5 millions d’euros de son propre argent via SSMM dans un stratagème avec la Banque centrale d’Irlande.
M. Pearls lui aurait dit qu’il avait payé 3,25 % d’intérêts annuels en franchise d’impôt.
M. Bone a découvert plus tard qu’un tel stratagème n’existait pas et, bien que de nombreuses demandes aient été faites, l’argent ne lui avait pas été restitué.
M. Bonn affirme également avoir versé 2,2 millions d’euros supplémentaires, via SSMM, pour couvrir les frais d’exploitation d’un yacht, mais il ne sait pas encore quelle part de cet argent a été détournée.
M. Peierls, un ressortissant français d’une trentaine d’années, aurait perpétré la fraude en utilisant un réseau de sociétés qu’il semblait avoir créées en Irlande et dans d’autres juridictions, une personne utilisant divers pseudonymes
M. Peierls a nié les allégations avant que lui et les autres accusés ne renvoient leurs avocats et ne se retirent de la procédure.