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(Reuters) – La plupart des marchés boursiers du Golfe ont chuté mercredi en début de séance, craignant que le ralentissement de la croissance mondiale n’affecte la demande de carburant, bien que l’indice qatari ait résisté à la tendance à la hausse.
L’indice principal du Royaume d’Arabie saoudite (.TASI) a chuté de 0,3 %, influencé par une baisse de 0,6 % d’Al-Rajhi Bank (1120.SE) et une baisse de 0,5 % du géant pétrolier Saudi Aramco (2222.SE).
Les prix du pétrole brut, principal catalyseur des marchés financiers du Golfe, ont atteint en 2022 leurs plus hauts niveaux depuis 2008, dépassant les 139 dollars le baril en mars après que les États-Unis et l’Europe ont imposé des sanctions à la Russie pour son invasion de l’Ukraine.
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Les prix sont depuis tombés en dessous de 100 dollars le baril, la hausse de l’inflation et la hausse des taux d’intérêt faisant craindre une récession qui pourrait éroder la demande.
Par ailleurs, le ministre de l’Investissement et les médias d’État ont déclaré sur Twitter, citant une décision du cabinet, que l’Arabie saoudite avait mis en place une agence de promotion des investissements dans le pays, qui est une cible clé d’un ambitieux programme de réformes économiques. Lire la suite
Le principal indice boursier de Dubaï (.DFMGI) a chuté de 0,5%, Emaar Properties perdant 1,5%, tandis que la Dubai Islamic Bank, qui respecte les actions, a chuté de 0,7%.
Et à Abu Dhabi, l’indice (.FTFADGI) a perdu 0,5%, en passe de casser trois séances de gains, affecté par une baisse de 1,3% de First Abu Dhabi Bank, la plus grande banque du pays.
Cependant, l’indice de référence du Qatar (.QSI) a augmenté de 0,2 %, soutenu par une hausse de 1 % de Qatar Petrochemical Industries Company (IQCD.QA).
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(couverture) Par Atiq Sharif à Bangalore; Montage par Eileen Hardcastle
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